lundi 10 août 2015

"Faire revenir la République à l'école"



Mise au point

Sur facebook tout ce que je publie est public,
 il s'agit donc que chacun mette un filtre 
afin de ne pas recevoir des notifications sur votre e.mail.
Si je vous importune, faites le moi savoir car j'en serai désolé.
Cordialement.
Jean-Loup
        LE MESSAGE DU JOUR est ci-dessous

           Que chacun se fasse sa propre opinion au lieu d'invectiver l'autre ! 
sep


Chère amie, cher ami,

Grâce à votre soutien, nous avons réussi, durant la dernière année scolaire, à mettre le problème de la crise de l’école sur le devant de la scène.

Ensemble, avec les 60 000 membres et les 200 000 sympathisants de SOS Éducation, nous avons travaillé d’arrache-pied. A plusieurs reprises, nous avons mobilisé les citoyens français sur la faillite de l’école, par des études, des sondages-choc, des campagnes de pétitions et des prises de positions dont toute la presse s’est faite l’écho. Nous sommes même descendus dans la rue contre la réforme du collège, et nos militants se sont retrouvés en Une de la presse !

Surtout, nous avons obtenu un changement spectaculaire du discours de nos hommes politiques : à droite, tous les candidats à la future primaire du parti Les Républicains s'engagent sur la réforme de l’école. Ce n’était pourtant pas gagné d’avance ! A gauche, de plus en plus de parlementaires sortent de leur réserve pour rappeler que l’école doit avant tout apprendre à lire, écrire, compter et réfléchir. C’est bien le moins !

Un rapport sénatorial sur le fonctionnement du système éducatif, qui a pour titre "Faire revenir la République à l'école", vient de reprendre l'ensemble de nos propositions : après 15 ans de combat, les lignes commencent enfin à bouger !

C’est donc un grand honneur pour moi de solliciter votre soutien à l'approche de la rentrée. SOS Éducation étant une association loi 1901 reconnue d’intérêt général, vous pouvez, si vous êtes imposable sur le revenu, défiscaliser 66% du montant de votre don.

Car si nous avons le mérite d’avoir mis les problèmes de violence, d’illettrisme, d’idéologie en première ligne, la bataille est encore loin d’être gagnée, et nous avons besoin de moyens, comme une armée a besoin de munitions.

Les projets du Ministre de l’Éducation Najat Vallaud-Belkacem restent extrêmement inquiétants : suppression des notes, des bourses au mérite, des internats d’excellence, interdiction du redoublement, réécriture biaisée des programmes, multiplication des « sensibilisations » idéologiques au détriment de la transmission des savoirs fondamentaux… et je ne parle pas de ses propositions en matière de statut des professeurs et des établissements, qui ne sont rien de moins que des capitulations honteuses face aux syndicats d’enseignants.

A ce jour, rien n'est donc acquis, et le problème de l’école est même plus préoccupant que jamais.

Les derniers résultats de l’enquête PISA, réalisée par l’OCDE, révèlent un recul brutal de nos élèves en français et en mathématiques. Ils passent à la 25ème place des pays développés. 20% des élèves français entrant en 6ème sont en situation d’illettrisme. En mathématiques, les résultats sont plus inquiétants encore, avec 30% des élèves qui ne possèdent pas les savoirs de base. Toujours selon l’OCDE, des pays plus performants que nous dépensent beaucoup moins pour leur école. La Corée et la Finlande, qui raflent les meilleures places dans toutes les matières, dépensent respectivement 20% et 6% de moins que la France, par élève et par an.

Faut-il s’en étonner ? Notre système éducatif est, depuis 40 ans, sous la coupe de syndicats, dont le but est précisément d’extorquer chaque année des augmentations budgétaires, et de se livrer à des expérimentations idéologiques sur le dos de nos jeunes.

Ce sont eux qui sont les premiers responsables de l’état actuel de l’école.

Cette école où on apprend souvent à nos enfants le contraire de ce qu’on leur dit à la maison, où bien des fois on leur brouille la tête avec des méthodes pédagogiques hasardeuses et où on veut les forcer à entrer tous dans le même moule.

Combien de fois ai-je entendu des parents pester et réagir vivement en voyant leurs bambins s’empêtrer dans la méthode de lecture globale ? Ou ramener des questions suspectes à la maison… Sans parler des contrevérités ou déformations dans les livres de classe, parfois écrits dans un jargon incompréhensible. Sans parler des professeurs des écoles recrutés à 4/20 de moyenne au concours, qui ne connaissent pas leur langue et font des fautes d’orthographe à la pelle…

Nos enfants ont-ils vraiment besoin de ça, eux qui subissent déjà souvent l’influence d’émissions douteuses à la télévision, de contenus stupides sur internet, et maintenant ces tablettes numériques introduites à grands frais dans toutes les salles de classe ?

Bien sûr, de nombreux directeurs et professeurs essayent de résister. Mais que peuvent-ils, encadrés comme ils le sont par le système et les circulaires de l’Éducation nationale, qui ne cessent d’empiler les réformes absurdes et prétendent régler leur travail dans les moindres détails ?

Et je ne parle pas des problèmes de violence, que les pédagogistes s’acharnent à ne PAS combattre, par refus de l’autorité.

Je crois qu’on a oublié que les enfants sont fragiles et que l’autorité, cela sert d’abord à les protéger. Que la discipline, cela sert surtout à leur donner confiance en eux-mêmes. Qu’il n’y a pas d’éducation sans sécurité.

Moyennant quoi, nous continuons à dépenser des sommes extravagantes pour une école qui s’effondre. Et à quoi servent, au juste, ces 65 milliards d’euros que nous consacrons chaque année à l’Éducation nationale par nos impôts ?

- A appointer les 500 000 personnels non enseignants qui pullulent dans les bureaux des rectorats, des académies et des services administratifs du système éducatif ;

- A payer les milliers et les milliers de professeurs sans affectation, qui restent chez eux toute l’année à se tourner les pouces, le plus souvent bien malgré eux ;

- A entretenir les 8000 enseignants mis à disposition des syndicats, qui ne voient plus un élève depuis des années mais qu’on retrouve dans tous les défilés ;

- A arroser les myriades d’associations et de groupes de pression subventionnés par l’Éducation nationale. Elles avaient gratté plus de 150 millions d’euros en 2014, et la fameuse réforme « des rythmes scolaires » a encore fait exploser la facture.

C’est ainsi que, sans aucun appui du grand public, ces associations, adossées à des lobbies sordides, font pression, tirent la couverture à elles et imposent leurs idées contraires à celles de la majorité des citoyens.

Et qui s’en étonne, qui le dénonce, qui ose protester ? Vous et moi, avec les 60 000 membres et 200 000 sympathisants de SOS Éducation. Jamais la presse, ni les hommes politiques, ni même les Fédérations de parents d’élèves, n’en parlent.

C’est pourtant un problème qui nous concerne tous : parents, grands-parents, enseignants, mais aussi toutes les personnes qui tiennent à ce que notre pays reste debout. Qu’il dispose, demain, d’une jeune génération capable de prendre la relève.

C’est pourquoi il est capital d’étoffer notre mouvement et de gagner en puissance pour peser plus lourd dans le débat public.

Surtout que les enjeux de la rentrée 2015 sont ENORMES.

Nous allons devoir mettre tout notre poids dans la balance pour contrer les idéologues aux manettes du Ministère, et avancer des propositions qui permettront enfin aux acteurs de terrain de prendre leurs responsabilités :

- Par le recentrage sur la transmission des fondamentaux, avec une vraie évaluation et des résultats transparents au niveau de chaque établissement

- Par la restauration de l’autorité des professeurs, indispensable pour mettre fin aux comportements inacceptables qui se répandent dans les lycées et collèges

- Par l’autonomie croissante des futures grandes académies et des établissements, au niveau de la gestion des budgets et des personnels, afin de mettre un terme au gâchis et de rendre enfin la dépense publique utile pour tirer tous les élèves vers le haut.

Face à la grande misère de notre école, rien ne nous oblige à rester passifs. Au contraire, avec SOS Éducation, nous avons l’occasion d’agir efficacement, dans le cadre d’actions ciblées, organisées à l’échelle locale et nationale.

C’est la meilleure façon de faire entendre notre point de vue.

Et je vous sollicite aujourd’hui pour vous engager dans la résistance à mes côtés, pour frapper fort dès la rentrée. J’espère que vous me soutiendrez par votre don le plus généreux possible.

Nous avons besoin de votre soutien financier pour nous aider à recruter de nouvelles personnes, augmenter la pression sur les députés et le gouvernement, accéder aux médias mieux et plus souvent.

C’est indispensable pour ne pas laisser l’école aux mains de ceux qui la poussent dans le gouffre.

Merci de m’aider par un don du montant de votre choix. Certains peuvent donner 30, 40 ou 50 euros. D’autres peuvent faire un don de 100 ou 200 euros, parfois davantage.

Mais quel que soit le montant que vous déciderez de donner, j’espère que vous serez fier de participer à une œuvre aussi importante pour l’avenir de nos enfants et de notre pays.

Merci d’être à mes côtés.

Bien à vous,



Claire Polin
Présidente de SOS Éducation

PS : Nous avons la chance d’avoir la possibilité de défiscaliser 66% de nos dons de notre impôt sur le revenu. Profitons-en !



SOS Éducation 
Association Loi 1901
d’intérêt général
habilitée à recevoir
des dons et des legs
(Loi ESS du 31/7/2014 art.74).

120 boulevard Raspail
75006 Paris, France
Tél. : 01 45 81 22 67
Fax : 01 45 89 67 17

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Le montant de vos dons est déductible à 66% de votre impôt sur le revenu (limite : 20% de l'impôt).


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ne sont pas prêts à être débranché.
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