Cliquez ci-dessous pour lire le texte complet
Pourquoi la finance mondiale est pilotée par des psychopathes ?
Robert Hare, professeur expert de premier plan sur la psychopathie, pense que s'il ne pouvait plus étudier les psychopathes dans les prisons, il les chercherait dans les salles de marchés boursiers. D'après sa théorie, l'élite financière, industrielle et commerciale serait donc pilotée par des dirigeants pathologiquement dangereux pour la société.
Qu'est ce que la psychopathie ?
C'est une pathologie causant une perturbation de fonctions de la région du cerveau où siègent les émotions et la peur conduisant à un comportement social inapproprié. Cette connectivité chimique cérébrale anormale rend les psychopathes extrêmement froids, très calculateurs et bien plus impitoyables envers les autres que la plupart des gens.
Les psychopathes d'affaires désignent des psychopathes travaillant et
opèrant dans le domaine organisationnel. Ces personnes ont également été appelé psychopathes exécutifs, industriels, ou organisationnels.
Leur pathologie sans conscience consiste à manipuler les autres de manière impitoyable afin de poursuivre leurs propres buts et objectifs.
La finance mondiale appartient-elle à de dangereux psychopathes ?
Les récents titres de la presse prouvent que «Wall Street n'exprime aucun remord» et que rien n'indique que son point de vue sur la crise est erroné.
Le professeur Hare a attiré l'attention de nombreuses fois sur les éventuels dommages que les psychopathes œuvrant dans les grandes corporations pourraient causer aux institutions financières.
Certains de ces dommages ont été mis en lumière par des recherches présentées dans un certain nombre de documents récents.
Les psychologues ont notamment démontré que les "psychopathes d'entreprise" au sein des grandes corporations peuvent être propulsés rapidement dans la hiérarchie en raison de leurapparence rassurante, leur charme, et leurs capacités à prendre froidement leurs décisions...
Un court rapport sur cette étude est ici (en anglais).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire