jeudi 27 janvier 2011

La nouvelle communication

Je vous propose d'aller sur le blog " L'avenir en lumière " dont je suis membre lire la réflexion sur ce thème :

jeudi 27 janvier 2011

La nouvelle Communication !
Les PPS (diaporama) transférés à tout va par les boites courriels, quelle facilité de communication !Personne au bout de la ligne téléphonique à qui j’aurai pu demander poliment :Bonjour est-ce que je te dérange ? J’aurais quelque chose à te communiquer qui m’a ….• Soit surpris * soit dérangé * soit que j’ai trouvé drôle !

Lire la suite sur le blog :

L'univers-en-Lumiere

Pierre Rabhi " Y a-t-il une vie avant la mort ?

Allez sur le site :

épanews - épanouissement, bien-être, spiritualité, connaissance de ... - 2 visites - 11:25
1er réseau épanouissement, bien-être et spiritualité. Forum, Chat, Agenda, Petites annonces. Un site gratuit avec plus de 2500 membres.epanews.fr/ -

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et rechercher ses publications en cliquant sur sa photo
Une fois sur Ambroise Ingold

Enfin
Descendez jusqu'à la vidéo publié par Ambroise le 15 janvier

Conférence de Pierre Rabhi - 15 janvier 2011 - TEDx Paris

Voir la vidéo
Pierre Rabhi - "Y a-t-il une vie avant la mort ?"

vendredi 21 janvier 2011

Rencontres à Vannes samedi 22 janvier et vendredi 28 janvier

Son blog : http://fengshuimarieline.blogspot.com/

Son site :

feng Shui Eden -

Cliquez 2 fois sur les affiches pour les agrandir Ces deux rencontres ont lieu au même endroit
à 10 minutes de Vannes

Direction Nantes,
sortir vers Theix, ensuite à gauche direction le Gorvello et tout droit

vous y êstes !

Bonnes rencontres

Marie-Line Jean-Loup

Le site du Gorvello-Café :

Le Gorvello Café -Gorvello Café – Chambres d'Hôtes. Chez nous, vous trouverez un site idéal pour: séjourner tout près du Golfe du Morbihan et des plages Atlantique de ...www.gorvellocafe.com/

jeudi 20 janvier 2011

Information pour le 22 janvier

cliquez 2 fois sur l'image pour l'agrandir

Je ne connais pas et je n'ai donc aucune opinion à priori.
Je vous transmets cette info.

Samedi 22 janvier à 19 H. ( heure de Paris ), en direct de Washington, avec traduction française simultanée
sur
http://www.larouchepac.com/

A vous de voir ce que vous voulez faire de ce message.

Gardez votre lucidité et votre discernement en regardant cette conférence de presse, comme je vais le faire moi-même.
( Il vaut mieux regarder soi-même que d'en entendre parler par rumeur )

mercredi 19 janvier 2011

INTERNET et les jeunes

Le compte-rendu de cette rencontre est toujours d'actualité.

Cliquez 2 fois sur l'imag pour l'agrandir

mardi 18 janvier 2011

La Révolution des silencieux

Cliquez 2 fois sur l'image pour l'agrandir Pierre Rabhi - Wikipédia

Son blog : Blog de Pierre Rabhi

Voici un appel diffusé par Terre et Humanisme, association de Pierre Rabhi, destiné à tous

APPEL à la RÉVOLUTION des SILENCIEUX

Nous paraissons bien petits face à la puissance gigantesque des multinationales, face aux pouvoirs politiques, économiques et financiers qui dirigent ce monde, face à tous ceux qui font et défont les choses pour leurs propres profits.
Et pourtant... et pourtant... nous, petits consommateurs, qui sommes si insignifiants, avons un pouvoir extraordinaire :
- celui d'acheter ou non tel ou tel produit,- celui de nourrir de notre argent ou non telle ou telle entreprise,- celui de cautionner ou non tel ou tel entrepreneur.
Nous avons la possibilité de choisir à qui nous donnons notre argent... et de là, à qui nous donnons du pouvoir économique et financier... que nous pérennisons.
Ensemble, chacun dans son coin, sans tambour ni trompette, sans fourche ni canon, faisons la révolution des silencieux.
Si nous voulons une terre saine et dépolluée, donnons notre argent-pouvoir à ceux qui respectent la planète et voient les choses à long terme, à ceux dont on sait ce qu'ils font, et comment ils le font.
Si nous ne voulons plus de drogues, de mafias et d'argent sale, donnons notre argent-pouvoir aux gens, aux entreprises, aux banques et aux institutions financières qui fonctionnent avec des choix éthiques, dans la transparence et le respect reconnus. Si nous ne voulons plus de guerres, cessons d’engrosser de notre argent les gens et les entreprises qui directement ou indirectement travaillent pour l'industrie des armes. Etc... etc...
Chaque centime compte, chaque argent qui sort du système des pouvoirs sans lendemains, pour nourrir les entreprises, les paysans ou les artisans qui respectent Les Hommes et la Nature, est important.
Ensemble, comme les gouttes qui, se réunissant, finissent par faire les rivières et les fleuves, puis les océans, faisons la RÉVOLUTION DES SILENCIEUX !
Devenons des consommateurs conscients et attentifs, informés et informants, et surtout, prêts à perdre du pouvoir d'achat pour cette cause noble et juste !

Le pouvoir d'achat est le piège par lequel nous devenons dépendant des systèmes de pouvoirs pour qui le seul profit à court terme compte... sans autre considération ! Servons-nous de l'expérience de ceux qui payent en milliers de morts les conséquences de cascades d'actions, à tous les niveaux, où les seules visions sont les profits uniquement personnels ! N'attendons pas que cela nous arrive ! N'attendons pas d'être des millions à mourir des diverses pollutions et aveuglements ou laxismes pour devenir conscients.
AGISSONS ! Photocopier (et traduire) cet appel à volonté et le distribuer ou l'envoyer à un, dix, vingt, cent, mille... personnes. Passons nous le mot afin d'être ainsi engagés et unis comme un seul homme !

Car si cette révolution appartient à tous, elle est avant tout affaire de RESPONSABILITÉ et d'ENGAGEMENT INDIVIDUELS.
N'attendons personne pour agir ! Mobilisons-nous individuellement pour tous !
L'auteur de ce texte n'est pas important, seule l'action compte: c'est pourquoi cet appel n'est pas signé. Le courage n'est pas de promouvoir le culte de la personnalité.

lundi 17 janvier 2011

L'esemple de la Tunisie

Remarque préliminaire :

j'autorise la retransmission de ce texte de réflexion à tous vos contacts, à condition de le publier intégralement et de citer votre source.
Je vous autorise également à publier sur votre site Internet ou sur votre blog l'intégralité de ce texte.
Vous pouvez aussi l'imprimer et le diffuser par tous les moyens qui vous paraîtront appropriés. Profitons-en, tant qu'Internet n'est pas encore censuré !

Si vous n'avez pas reçu ce texte directement de ma part, et que vous voulez recevoir les suivants, veuillez-vous inscrire gratuitement sur ma liste d'envoi à l'adresse de mon site Internet (http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/)

Jean-Jacques CrèvecoeurMontréal (Québec)
www.jean-jacques-crevecoeur.com


Madame, Monsieur,
Chers amis,Je me sens particulièrement touché par les événements dont nous sommes témoins en Tunisie depuis quelques jours. Pas seulement parce que ma femme est franco-tunisienne et que ma belle-famille vit ces heures d'espoir mêlées d'angoisse, après 23 ans de dictature et de pillage de ce beau pays.
Depuis que j'ai dix-huit ans, je vis avec le sentiment d'être un citoyen du monde. Avec pour conséquence que je me sens concerné par tout ce qui touche mes frères et mes soeurs humains, quelque soit l'endroit de la planète.
Je ne sais plus quel philosophe disait : « Je suis un humain. Par conséquent, je me sens concerné par tout ce qui touche à l'humain. »
Je repense aussi à cette phrase du Christ (je rappelle que je n'appartiens plus à aucune religion, mais je n'ai pas jeté le bébé avec l'eau du bain) :
« Ce que vous ferez au plus petit d'entre les miens, c'est à moi que vous le ferez ».

Je ne suis pas un analyste politique et je laisse cet exercice à ceux qui ont quelque chose de pertinent à dire.
Ce que je veux vous partager, c'est ce que représente, pour moi, ce mouvement qui est en marche.
Je me suis demandé : qu'est-ce qui a permis cette révolution ?

Plusieurs éléments, d'après moi.
Tout d'abord, le peuple tunisien est un des peuples d'Afrique du Nord parmi les plus instruits et les plus éduqués. Remarquons que le mouvement de protestation est venu massivement des jeunes adultes dont le niveau d'instruction est élevé ;
Ensuite, les Tunisiens ont vécu avec la claire conscience qu'ils vivaient dans une dictature. C'était tangible, c'était palpable. Le pillage de la nation par la famille présidentielle, la corruption omniprésente, y compris de la police, tout cela ne laissait aucun doute pour ceux qui vivaient là-bas ;
Depuis longtemps, les réseaux sociaux (comme Facebook, Twitter, etc.) et les moyens de communication (le taux de pénétration de la téléphonie est proche de 100 % en Tunisie) ont permis aux Tunisiens de tisser des réseaux de solidarité et d'information. Ce qui leur a permis de se transmettre des informations non manipulées de ce qui se passait réellement dans les rues. Ce qui leur a permis également de se mobiliser extrêmement rapidement lorsque le temps est venu, malgré le risque d'être tués, pour exiger le départ de Ben Ali ;
Également, il a fallu un élément déclencheur : l'immolation de ce jeune diplômé qui s'était vu confisquer par la police ce qu'il vendait dans la rue pour survivre, tout simplement.
Cet acte de désespoir a trouvé une résonance chez les centaines de milliers de personnes qui ressentaient depuis longtemps un ras-le-bol face à cette dictature corrompue ;
Enfin (et c'est à souligner), le général Rachid Amar a refusé de mobiliser l'armée contre son propre peuple, ce qui lui a coûté cher personnellement, puisqu'il fut limogé...

Pour résumer, le renversement du dictateur a été permis parce que des individus étaient instruits, conscients (qu'ils vivaient dans une dictature), reliés (par les réseaux sociaux) et solidaires et parce que certains auxiliaires du pouvoir ont choisi de faire passer leur sécurité personnelle derrière les valeurs élevées du respect des droits humains fondamentaux.
En écho à cela, rappelons-nous que l'histoire nous a montré que tous les coups d'États ont suivi à peu près le même scénario :fermeture immédiate des universités (pour empêcher ceux qui pensent par eux-mêmes de réagir et de se mobiliser) ;prise de contrôle des médias pour manipuler l'information, et donc manipuler la masse du peuple (tout va très bien, dormez en paix bonnes gens, la situation est sous contrôle, votre bon père veille sur la nation) ;interdiction des réunions publiques (pour éviter la mise en place des réseaux de résistance, de solidarité et de mobilisation) ;censure de tous les médias d'information indépendants.

Pourquoi je vous parle de tout cela aujourd'hui ?

C'est parce qu'en méditant sur les événements de ces derniers jours, je ne peux m'empêcher de faire des parallèles avec la situation que nous, les occidentaux des pays dits démocratiques, vivons en ce moment.

Car si nous osons regarder au-delà des apparences, nous devrions peut-être nous poser la question : vivons-nous dans une dictature ?

Dictature politique, dictature financière, dictature médicale, dictature scientifique, dictature judiciaire.
Le problème, c'est que la grande majorité d'entre nous ne se pose pas cette question pourtant fondamentale : une dictature ne se serait-elle pas installée dans nos contrées, avec notre complicité involontaire et inconsciente ?
Que nous vivions en Europe ou au Canada, la dictature ne cache-t-elle pas son vrai visage derrière des apparences de démocratie ?

Posons-nous ces questions :

Vivons-nous dans une dictature politique ?
On peut se poser la question, quand on voit que les pays européens ont abandonné leur souveraineté pour se soumettre à l'Union européenne qui est dirigée par un conseil et un président désignés par l'élite mondiale, et non élus démocratiquement... Et quand on voit que le Canada, les États-Unis et le Mexique s'apprêtent à vivre la même chose, à l'insu de la population et des élus politiques, il y a de quoi frémir...

Vivons-nous dans une dictature financière ?
Que dire, quand on voit que les pays ont abandonné leur pouvoir de battre leur propre monnaie, pour l'emprunter à des banques centrales privées qui chargent des intérêts qui, à eux seuls, alourdissent toujours plus le déficit et la faillite des nations ? Et comment penser autrement lorsqu'on voit que la faillite que les banques ont créée en menant des opérations spéculatives illégales a été, finalement, épongée par nos propres impôts, provoquant une paupérisation de plus en plus grande des populations et un enrichissement écœurant de ces mêmes banques privées ?

Vivons-nous dans une dictature médicale ?
Comment qualifier cela autrement, lorsqu'on découvre que les gouvernements sont soumis aux exigences des compagnies pharmaceutiques en matière de santé publique et de vaccination, préférant favoriser la santé financière de ces dernières plutôt que la santé physique de leurs populations (les révélations sur le contrat de GSK dans le dossier H1N1 en est une illustration éloquente) ? Et que penser du fait que les experts qui formulent les recommandations en matière de santé publique sont, très majoritairement, financés par les compagnies pharmaceutiques elle-mêmes ?

Vivons dans une dictature scientifique ?
On est en droit de s'interroger, en tout cas, lorsqu'on voit que des scientifiques honnêtes, motivés par le bien-être de l'Humanité, voient leur carrière brisée et leurs découvertes étouffées parce que leurs travaux menacent les intérêts économiques de certains groupes ou pire, pourraient redonner aux individus la maîtrise de leur propre vie en matière d'alimentation, de santé ou d'énergie...

Vivons-nous dans une dictature judiciaire ?
Plus que jamais, il est nécessaire de se poser la question, lorsqu'on voit que manifester contre un abus est assimilé à un acte terroriste ou criminel et qu'à présent, le simple fait d'être soupçonné d'être dangereux pour la sécurité nationale peut nous mettre en situation de garde à vue sans limitation de durée… L'existence de Guantanamo n'étant que la partie émergée de l'iceberg...

Bien sûr, nous n'en sommes pas au point de vivre ce que le peuple tunisien (ou d'autres) a vécu ces dernières décennies. Quoique.
Quand je reprends le scénario de l'installation d'une dictature (fermeture des universités, contrôle des médias, interdiction des réseaux de solidarité et censure des canaux d'information alternatifs), j'éprouve un étrange malaise.

Je me sens mal à l'aise lorsque je vois que la qualité de l'enseignement s'est dégradée de manière continue depuis trente ans, lorsque je vois qu'on supprime les cours d'histoire et de philosophie des programmes. Avec pour conséquence, que la majorité des jeunes est de moins en moins capable de penser par elle-même, de façon critique et intelligente, sans perspective et sans repères issus du passé ?

Bien sûr, c'est moins brutal que la fermeture des universités.
Mais n'est-ce pas, en fin de compte, plus efficace ?

Un peuple stupide, inculte et ignorant peut-il vraiment désirer se rebeller contre la dictature en place ?
Je me sens mal à l'aise lorsque je constate que les médias dominants (presse écrite, radio et audiovisuelle) sont devenus des instruments de propagande au service des intérêts de cette élite minoritaire qui pille et saccage la planète entière. Et je m'interroge lorsque, jamais, une position discordante n'a voix au chapitre des journaux et des magazines, à propos des grands enjeux de ce vingt-et-unième siècle. Sauf s'il s'agit de lyncher, de ridiculiser, de diffamer cette position : alors là, tout à coup, les penseurs dissidents font la une de l'actualité (sans pour autant pouvoir s'exprimer eux-mêmes).
Je me sens mal à l'aise quand je lis, dans l'évaluation de la gestion de la crise H1N1 (évaluations de l'OMS mais aussi de différents gouvernements) qu'une des choses à améliorer pour la prochaine pandémie, c'est la censure et le contrôle des réseaux sociaux et d'Internet, pour empêcher les opposants de discréditer le bien-fondé du principe vaccinal.

Je vous invite, sincèrement, à vous poser ces questions.
Et à tenter d'y répondre avec votre propre discernement.
Je ne prétends pas détenir la moindre vérité à propos de ce qui se passe. Mais j'estime que c'est notre devoir à tous de nous informer, de nous former et de tirer nos propres conclusions. Et d'adopter, à tout le moins, une attitude critique à l'égard des milieux politiques, financiers, médicaux, scientifiques, judiciaires et médiatiques.

Pour revenir aux Tunisiens, j'ignore si le départ de leur dictateur changera les choses fondamentalement. Je le répète - je ne suis pas analyste politique et mon propos n'est pas de fournir une analyse précise de la situation.

Mais ce que je ressens aujourd'hui, c'est un immense espoir pour nous tous.
Parce que des individus ont appris à penser par eux-mêmes, parce qu'ils ont pris conscience de la situation dictatoriale dans laquelle ils se trouvaient, parce qu'ils ont tissé des réseaux d'entraide, de solidarité et de communication, ils ont pu se remettre debout, fièrement, sans violence. Et faire tomber un dictateur qui semblait indéboulonnable il y a encore un mois.
Ce que les Tunisiens ont fait cette semaine, nous pouvons, nous aussi, le faire. C'est la raison pour laquelle je dédie ma vie depuis près de trente ans à informer et à former mes semblables, en leur apprenant à penser par eux-mêmes, à se soigner par eux-mêmes, à gérer leurs relations par eux-mêmes.
Comme je le répète souvent : « S'informer et se former est un acte de liberté et d'autonomie ! »

L'exploit des Tunisiens m'encourage à diffuser encore davantage l'essence de mon travail, à travers de nouveaux livres et de nouveaux DVD en préparation, à travers le programme des nouvelles conférences et des nouveaux séminaires.
Ne désespérons pas.

On pourrait croire que la dictature mondiale est à la veille de révéler son véritable visage.

Mais contre l'instruction, la connaissance de la vérité, la conscience des manipulations et l'acceptation des risques, ils ne pourront rien faire, si ce n'est demander asile aux extra-terrestres (puisqu'il n'y aura plus de place pour eux sur cette Terre).

Nous pouvons créer une meilleure vie, nous pouvons créer un meilleur monde.

Souvenez-vous de cette phrase de Gandhi que je répétais l'an dernier, pendant la crise de la grippe H1N1 : « un individu conscient, éveillé et debout est plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et apeurés. »
Le peuple tunisien nous a donné un exemple à suivre. Il nous a prouvé que reprendre notre vie en mains n'était pas une utopie : c'est à notre portée. À condition de le décider.Plus que jamais, restons unis, conscients et debout

mardi 11 janvier 2011

Café Psy sur VANNES

Le vendredi 07 janvier 2011

Le Café psy déménage

Theix, Gorvello Café
41, rue des Ducs-de-Bretagne
À 20h30

Le Café psy déménage en cette nouvelle année 2011.

Rendez-vous au Gorvello Café à 10 minutes de Vannes.

Conférence : 7 janvier

Pourquoi et comment se réconcilier avec l’argent ?
intégration des idéaux et rêves dans la vie quotidienne par Élisabeth Andrey.

Découvrez les prochaines conférences :
Vendredi 28 janvier
vendredi 18 février

Site internet cliquez ci-dessous

Café Psy - Une autre vision du bien-être

Raphaël CE PETIT C .....



Je ne connais pas la chanson, mais c'est bien envoyé !!!

Et dire que son disque se vend..........quelle honte.

A une époque où il est de bon goût de "niquer la France", de siffler son hymne national, de primer une photo montrant un homme se torchant les fesses avec le drapeau bleu blanc rouge, le chanteur Raphaël a sorti, avec une promotion médiatique énorme, une chanson, "Patriote".

Il a choisi, pour faire sa publicité, de monter sur une échelle, et de vouloir tourner en dérision Jeanne d’Arc, et à travers elle notre pays.

Cela a fait réagir Myriam Picard, jeune femme de 25 ans, qui a tenu à rosser ce "freluquet", avec un style, un panache et une élégance dont nous avons envie de vous faire profiter.

J’ai 25 ans, et je ne laisserai pas un freluquet comme vous, Raphaël, insulter la France.
lundi 18 octobre 2010, par Myriam Picard

Lettre ouverte à monsieur Raphaël Haroche

Vous vous êtes permis récemment de commettre une chanson, « Le patriote ».

Le message que vous y donnez est clair : vous méprisez la France, vous méprisez les Français.

En voici quelques extraits éloquents :

Si j’étais moins intelligent/Si j’avais pas ma carte de lâche/Je leurs foutrais mon pied dans les dents/Je leurs faciliterais pas la tâche/En première page des magazines/Ils sont partout dégueulant/Leur réformes et leur grippe porcine/Le bon peuple et son président.

Il faut chanter la Marseillaise/Et avé’ la main sur le cœur/Moi je la siffle avec les Beurs/Priepour qu’au foot on soit de la baise/L’ordre moral est bien partout/La démago de gauche à droite/J’aime mieux attendre qu’ils soient bien saouls/Avant de me battre.

Pour mettre en valeur ces paroles hautement patriotiques, vous avez organisé une lamentable mise en scène, en enfourchant la statue de Jeanne d’Arc (place des Pyramides) et en chuchotant, à l’oreille de ce symbole de la France, combien vous méprisiez ce pays.

Si vous n’êtes pas content de la France, la porte est ouverte. Grande ouverte. Nous n’avons que faire de rebellocrates qui croient monter des barricades quand ils se contentent de gravir prudemment une échelle sous l’œil complice d’une caméra. Et sachez que si vous vous permettez encore une fois de peloter aussi bêtement une statue de Jeanne d’Arc, il y aura sans doute quelques bons Français pour vous rappeler un peu vigoureusement, avec des méthodes de l’époque, ce que fut cette bergère de quinze ans pour des milliers de Français désespérés.

Ce n’est pas parce que vous avez beaucoup d’argent, une petite gueule d’amour de Rimbaud en mal de talent, et l’admiration des bobos des rives gauche – et droite, que vous pouvez vous permettre de donner des leçons aux Français.

Ces Français que vous jugez « désolants », bramez-vous.

Certes, quand ils tolèrent qu’un adolescent attardé de 35 ans leur donne des leçons de vie.

Votre chanson et son clip offensent les millions de personnes qui sont mortes pour la France ; vous marchez sur un sol trempé de larmes et de sang, un sol qui a pu garder son nom et son âme grâce à des hommes et des femmes qui se sont sacrifiés pour que vous ayez un jour la possibilité de vivre libre dans ce pays sur lequel vous crachez aujourd’hui

La Française que je suis vous prie de vous cantonner à des débats à la hauteur de vos capacités.

Battez-vous contre le réchauffement climatique, pour la béatification de Karl Lagerfeld, ou pour la culture du boulgour bio, mais ne vous mêlez pas de la France. Elle n’a que faire d’un « planqué derrière ses lunettes noires » (comme vous le dites si bien) qui vit très confortablement dans le XVIIème, n’a jamais eu peur de se faire tabasser dans le métro, et ne sait pas ce que c’est que de vivre à proximité d’un camp de Roms.

Car vous ne vivez pas dans la réalité, vous l’ignorez absolument.

Papa-maman avocats, enfance à Boulogne, scolarité à Henri IV, épouse qui, pendant que vous caracoliez sur la statue de Jeanne d’Arc, assistait à la Fashion Week : on ne peut pas franchement dire que vous êtes des damnés de la terre.

« Les étrangers, ça va dans des camps / On va quand même pas sauver le monde. » dites-vous avec ironie.

Eh bien, si vous trouvez cela tellement révoltant, pourquoi n’en accueillez-vous pas quelques dizaines chez vous ? Avec vos moyens financiers, ce doit être possible. Et nous serions tous ravis de voir ce que donnerait cette confrontation de vos idéaux droitdel’hommistes avec la réalité.

Car la réalité, monsieur, c’est que les Français n’en peuvent plus.

Et si le gouvernement a décidé de faire une opération de communication en expulsant quelques Roms, c’est précisément parce qu’il sent la révolte d’un peuple qui n’en peut plus de vivre, jour après jour, la communautarisation de son pays.

Voilà sans doute des mots que vous ne connaissez pas. Je vous invite donc à aller vous promener du côté des Mureaux ou de la Courneuve : ce seront des travaux pratiques très instructifs, je n’en doute pas.

Vous verrez alors ce que pensent réellement ces Beurs dont vous parlez, et avec lesquels vous rêvez de siffler la Marseillaise. Vous allez connaître le sens des mots « bolosser » et « face de Craie ». Et j’ose espérer que vous mesurerez alors le courage de ceux qui osent se dresser contre cette inadmissible violence antifrançaise et antiblanche qui gangrène notre pays.

Car les gens de courage ce ne sont pas Zazie, Judith Godrèche, Christophe Willem et vous-même : vous vous indignez très confortablement, derrière des micros ou sur des plateaux TV, vous vous battez contre des moulins à vent, et avez l’impression qu’en défendant l’antiracisme ou le maintien des Roms en France, vous êtes dans l’irrévérence, alors que ce gouvernement que vous critiquez donne depuis des années des millions d’euros à des associations qui pourfendent les mêmes méchants que ceux que vous désignez d’un doigt lisse bordé de cachemire.

Votre chanson sue le mépris.

Mépris pour le peuple, mépris pour ses inquiétudes, mépris pour ses souffrances. Mépris pour les symboles d’un pays qui ne doit pas être si atroce que cela, puisque tant de gens veulent y rentrer et y rester.

Quel sera le prochain acte de bravoure et de folie artistique du mutin de Panurge (merci Philippe Muray pour cette belle invention) que vous êtes, Monsieur ?

Déféquer devant le Panthéon ?> En vous posant en pseudo résistant, vous vous inscrivez au contraire parfaitement dans l’histoire des collabos et des traîtres qui ont sali notre pays. Vous êtes de ceux qui, depuis plus de trente ans, forcent les Français à se battre la coulpe en permanence, à rougir de leurs valeurs et de leur histoire, à cracher sur tout ce qui est digne et respectable dans un des rares pays où on ne vous colle pas au gnouf pour des propos comme les vôtres.

J’ai 25 ans, Monsieur, je suis française, et fière, quoi qu’il arrive, de mon pays. Aucune nation, jamais, n’est parfaite. Mais j’ai la chance de faire partie d’une grande et belle histoire, j’ai derrière moi des siècles d’héroïsme et de grandeur. J’essaie d’en être digne, tant bien que mal.
Alors quand je vois un si petit freluquet s’estampiller bouffon d’une cour
et d’un système qui lui rapportent tant d’argent et de médiatisation, je ne peux que me dresser, du haut de ma jeunesse, et vous rappeler à l’ordre.

Au nom de cet hymne que vous raillez, de cette Jeanne d’Arc dont vous vous servez, veuillez, Monsieur Haroche, avoir un peu d’humilité, d’intelligence, et de décence.

Vous n’êtes pas Guy Môquet ni Emile Zola. Mais un petit Parisien conformiste dont le plus grand acte de bravoure de sa vie aura sans nul doute été de monter une échelle, place des Pyramides, sans un harnais de sécurité.

Myriam Picard

Bravo mademoiselle ou madame !

J'ai 75 ans et j'ai vu un monde s'éffondrait en 1940 et se redresser en 1945, j'avais 8 ans.
Je l'ai vu se relever progressivement et prospérer.

Je le vois progressivement s'enfoncer de nouveau en contemplant ce genre de spectacle. Les résistants risquaient GROS mais ils avaient des c.......

Merci Myriam de votre courage de dire tout haut ce qu'une majorité pense tout bas.

Jean-Loup
Dans la même veine
BRAVO ET CHAPEAU BAS MADAME.

J'ai fait un rêve :
- D'un Maghreb où s'érigeraient des églises catholiques, des temples luthériens, des synagogues.
- D'un Afghanistan où de jeunes catholiques pourraient préparer un pèlerinage à Lourdes ou à Jérusalem.
- D'un Iran ou d'un Irak où des Loubavitchs pourraient se promener en papillotes.
- D'un Pakistan où seraient organisées les prochaines JMJ.
- D'un Islam sans charria, sans burqa, où mes sœurs musulmanes ne seraient ni lapidées parce qu'elles sourient sans leur voile, ni traitées en pestiférées sociales.
- D'un monde sans Al Qaïda, où les traders salueraient encore les femmes de ménage mexicaines avant de prendre l'ascenseur, où l'on pourrait encore prendre une bouteille d'eau dans un avion. Je mélange tout ?
Je mélange tout, sans doute, en ces temps où l'identité nationale a des relents de gruyère et de lingots, en ces jours Zurich vaut bien un appel du Muezzin...
Mais quelque part, sans me compromettre ni vouloir risquer une lapidation, je comprends...
- Je comprends qu'il convient parfois d'oser le courage, et de cesser les œcuménismes à sens unique...
- Je comprends la "Heidi touch", la réaction suisse, même si, populiste et rétrograde, elle nous renvoie à nos Croisades et à notre peur du Sarrasin.

Car je suis fatiguée.
Fatiguée de baisser les yeux quand je marche, légèrement terrorisée, dans un "quartier arabe", oh, pas à Jérusalem, non, juste chez moi, dans ma ville rose. Car j'en ai soupé de manger Hallal à la cantine de mon collège. Car j'en ai assez de croiser des étudiantes en burqa au cours d'arabe jouxtant mon cours d'allemand, dans une université soit disant soumise à la loi sur la laïcité.
Car je suis une fille de Charlemagne et de Roland, de Saint-Louis et du chêne, car je suis La Pucelle et pas Fatima, car mes ancêtres, oui, sont Gaulois, celtes, vikings, mais aussi juifs, espagnols, italiens, portugais, grecs ou maltais.
Ma vie n'est certes plus rythmée par l'angélus de l'aube et l'angélus du soir, mais en moi coule le sang des bâtisseurs de cathédrales. Et la colline de Vézelay, oui, m'est plus familière que la Pierre Noire de La Mecque.
Alors, quand les petits Suisses disent tout haut ce que plein de monde pense tout bas, et au risque de froisser mes nombreux amis musulmans, mes amis poètes, artistes, enseignants, mon épicier, mes anciens voisins,
j'ose l'écrire : restaurons nos églises, admirons nos vitraux, chantons quelques beaux cantiques, expliquons à nos écoliers ce qu'est Noël, au lieu de nous demander s'il est de bon ton de construire une mosquée dans chaque village !
J'aime écouter du Raï, je suis la reine du couscous, je ne vote pas Le Pen.
Mais :
Le jour où mes amies musulmanes ne seront plus lapidées au moindre pantalon dépassant d'une burqa, le jour où je pourrai bronzer en monokini sur les plages d'Agadir, le jour où une église se construira à Kaboul,
alors là oui, j'oserai critiquer cette décision suisse de ne plus construire de minarets.
Sabine Aussenac. Professeur d'allemand
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01/12/2010
Autriche : un député remet l'ambassadeur turc à sa place !
Bravo ! Les Autrichiens en ont marre de la tolérance à sens unique. Le député Ewald Stadler a fustigé l'ambassadeur de Turquie au parlement et a été chaleureusement applaudi.
C'est comme ça qu'il faut leur parler !
Mon opinion sur ce qui précède
Oui, il y a du pour et du contre, mais à force de tolérer l'intolérable il n'y a plus de dialogue mais un seul point de vue qui peut s'exprimer.
J'ai mis, entre autres la cassette vidéo de la remise à sa place de l'ambassadeur turc par un député autrichien sur la soi-disant intolérance de l'Autriche vis à vis de l'Islam.
Il fut un temps que j'ai connu où il était pratiquement interdit de critiquer les abus staliniens qui étaient qualifiés de mensonges et de propagande anti-soviétiques.
J'avais 20 ans quant un gouvernement m'a envoyé en Algérie, soi-disant défendre LA civilisation. Aujourd'hui je sais qu'en fait il s'agissait de défendre des " gros sous ".
Je suis pacifiste, non-raciste, pour la liberté d'opinion et de religion, mais je ne veux pas être obligé de manger " Casher ou Hallal " ( par contre qu'il y ait le choix pour les juifs ou les musulmans d'accord ).
Chacun pense ce qu'il veut, mais la politique de l'autruche a toujours démontré qu'elle aboutit aux pires horreurs. Les accords honteux de Munich avec Hitler en 1938 n'avaient réussi qu'à nous faire croire qu'au pris du déshonneur nous éviterions la guerre.
A l'époque les plus lucides disaient que nous aurions et le déshonneur ET la guerre.
Ce fut le cas !
Ça c'est de l'histoire récente.
Voila mon point de vue, que je voudrais de bon sens, sans vouloir donner de leçon à personne.
Avec toute ma sympathie pour vous lecteurs
Jean-Loup