lundi 30 septembre 2013

Pour comprendre son cas

  1. Bruno Boulefkhad : « La Banque M'a Ruiné ! " ( Onnouscachetout TV ... 

    www.youtube.com/watch?v=Wa_b7lJpqN4
    15 mai 2013 - Téléchargé par Onnouscachetout TV
    Bruno Boulefkhad Avait Une Entreprise et employait 12 personnes. Ruiné une cause de Pratiques Bancaires ...

vendredi 27 septembre 2013

Oui à l'agriculture familiale


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MesOpinions.com
Non à l'accaparement des terres, je signe la pétition.
Non à l'accaparement des terres
j'agis contre l'eau insalubre

Chers x,
Au nom de toute l’équipe d’Elevages sans frontières, je tiens à vous remercier chaleureusement de votre soutien à notre appel contre l’accaparement des terres et pour le développement de l’agriculture paysanne.
Chaque jour, notre action donne à des hommes et des femmes les moyens de vivre dignement sur leur sol grâce à la création d’une activité génératrice de revenus.
Ce sont autant de terres travaillées qui resteront aux mains des petits producteurs.
Ensemble, mobilisons-nous pour un monde plus juste !
Je fais un don
Chaque signataire renforce notre mobilisation, il suffit d’une minute pour partager cette action auprès de votre entourage.
Encore merci d’être à nos cotés,
André Decoster

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Depuis 2009, notre agrément au Comité de la charte du don en confiance
atteste de la gestion rigoureuse et de la transparence d’Elevages sans frontières.

Notre Conseil d’Administration bénévole est garant de la déontologie et de la neutralité politique et religieuse de l’association.

Les ressources issues à 80% de la générosité du public garantissent notre indépendance.
Comité de la charte
Association Elevages sans frontières
41 rue Delerue - 59 290 Wasquehal

03 20 74 83 92 - contact@elevagessansfrontieres.org
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jeudi 26 septembre 2013

Un dossier complet



L

Enfin j'ai compris pourquoi j'ai pas compris

 de Stop aux mensonges de la gauche : Hollande et son charabia sur les impôts.




François Hollande en prend pour son grade...

Gaspard Proust se moque d'Hollande et de son"charabia" sur les impôts destiné à enfumer le peuple...

La réaction de Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS de Paris, qui ne peut retenir un énorme fou rire (comme l'ensemble du plateau télé) démontre qu'elle partage ce point de vue malgré elle!
Durée : 2:07

dimanche 22 septembre 2013

Bijoutier de Nice : Ce qu'on ne vous a pas dit

 L'Institut pour la justice 

Madame, Monsieur,

Le bijoutier de Nice, M. Turk, a été menacé de mort, violenté et tabassé par ses agresseurs avant de tuer l'un d'entre eux.

Partout on vous explique qu'il n'était pas en légitime défense.

A l'Institut pour la Justice, nous avons décidé d'interroger l'un des plus grands experts de cette question, l'avocat Me Thibault de Montbrial, qui a défendu dans sa carrière de nombreux policiers, gendarmes et commerçants en situation de légitime défense.

Regardez bien cette vidéo exclusive. Vous n'entendrez cela nulle part ailleurs. C'est le discours de bon sens d'un avocat qui connaît la réalité de ces situations.

Lorsque vous aurez visionné la vidéo, j'espère que vous participerez à notre grand référendum pour que notre justice protège les citoyens innocents et condamne les vrais voyous, et non l'inverse !

Rendez-vous ici pour voir l'interview de Me de Montbrial sur l'affaire du bijoutier de Nice et sur la légitime défense.

Avec tous mes remerciements.



Laurence Havel
Secrétaire nationale.

Journée internationale des filles

 Si vous faites un don, choisissez votre association 
terresdecouleurs@gmail.com

Nous avons besoin de beaucoup d'encouragements

Vous reparler de notre programme me semble 
important. 

Actuellement 9 familles ont accepté de s'engager 
publiquement dans la région de Maasailand 
(Kadjiado district) pour renoncer à l'excision. 
Nous avons réuni ces familles chez ceux qui ont 
mis en place, il y a déjà 3 ans, un rite 
de substitution.

Notre objectif est de réunir 3 x 9 familles 
soit 27 familles et leurs filles pour fin 2014 afin 
que chaque famille puisse dire haut et fort 
qu'elle est accompagnée dans sa démarche et 
fière de changer de pratique culturelle. 

Nous avons besoin de beaucoup d'encouragements !

Sur Facebook le premier est le "J'AIME" - 
le second est le partage ( gratuit) 
le troisième est l'adhésion à l'association 
( 15 euros) et enfin le don ....
prendre contact directement sur terresdecouleurs@gmail.com

 Pour visiter le blog 
Cliquez ci-dessous




Voici les 9 premières et l'ainée Nayainoi dont 
les parents sont nos "partenaires initiateurs" 
de ce programme chez les Maasaï
 - Phylis et Kenny Matampash.


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MesOpinions.com
CARE se mobilise pour mettre fin à cette violation des droits humains, Signez ici
Journée internationale des filles
25000 petites filles sont mariées de force chaque année



jeudi 19 septembre 2013

Stupide !!!



Jeudi 19 septembre 2013

Conférence Bourse
Stupide, stupide, stupide !
Cécile Chevré

Waouh, Ben, vraiment ?

Je dois avouer que le président de la Fed m'a surprise hier soir, en annonçant aucun changement à sa politique de rachats de bons du Trésor, aucun ralentissement...

Alors, oui, certes, je n'avais aucun doute sur le fait qu'un arrêt du QE était absolument impossible -- ce fameux problème de dette publique US et le ralentissement des achats de bons du Trésor par les investisseurs étrangers 
dont je vous parlais vendredi dernier -- mais je pensais que le président de la 
Fed donnerait un signe fort aux critiques 
(de plus en plus nombreux) de sa politique 
en ralentissant légèrement (de 10 à 
15 milliards de dollars) ses achats.

Eh bien non. C'était bien la peine d'annoncer 
ce ralentissement en mai dernier et affirmer 
haut et fort que la Fed prévoyait un arrêt 
définitif du QE l'année prochaine ou en 2015 
pour reculer ainsi. Entre-temps, les rendements 
obligataires ont remonté partout dans le monde 
(à un niveau pour le moment tout à fait soutenable) 
et les pays émergents ont été frappés par une 
hémorragie de liquidités qui a fait craindre une 
crise semblable à celle de 1997.

L'inflation passe à la trappe
Remarquez, j'aurais dû me douter que Bernanke 

se montrerait beaucoup moins frileux qu'anticipé. 
La seule raison qui pousse la Fed à s'interroger 
sur sa politique, ce sont les menaces d'inflation. 
Or, comme le soulignait Mathieu Lebrun mardi 
dernier à ses abonnésd'Agora Trading : 
"l'inflation ne sera clairement pas un sujet 
de préoccupation pour les membres de la Fed 
(l'indice CPI des prix à la consommation, indicateur 
d'inflation suivi par le Fed, a à peine progressé en 
août, de 0,1%, soit moins que les attentes des 
économistes)".

La Fed a expliqué sa décision par un taux de 
chômage qui reste élevé et par la peu brillante 
croissance américaine. Hum... Deux faits qui 
étaient connus en mai dernier, au moment où 
Bernake affirmait sa volonté de mettre fin au QE.
It's economy, stupid !
Que s'est-il passé ? Pour le moment, le simple 

qualificatif qui me vient à l'esprit est "stupide". 
Après autant de remous sur les marchés, l'annonce 
d'un ralentissement, même minime, de 5 milliards de 
dollars n'aurait provoqué aucune politique et aurait 
donné un signal fort : la Fed est consciente que sa 
politique conduira à l'inflation.

A croire que Ben Bernanke est préoccupé par une 
seule et unique chose : son statut de sauveur de 
l'économie américaine. Ce qui est plus qu'inquiétant.

En attendant, les marchés ont réagi... très logiquement. 
Les actions ont bondi, le dollar a baissé, l'or est 
reparti en hausse, comme l'expliquait Simone Wapler 
dansL'Investisseur Or & Matières ce matin 
(au passage, signalons que Simone n'a jamais cru 
ne serait-ce qu'à un ralentissement du QE !) : 
"Je vous l'avais dit et répété, la Fed ne PEUT pas 
arrêter la planche à billets. Il n'y a pas de bouton 
'arrêt' sur cette machine infernale. L'arrêt se fait
par la destruction monétaire."

"L'or et le pétrole ont donc fortement rebondi. 
L'once d'or est passée de 1 300 $ à 1 360 $ au 
moment de l'annonce de la Fed, soit +4,6%. 
L'argent a bondi de 9% et l'or en euro est aussi 
passé de 972 euros à 1 008 euros soit +3,7%. 
Au moment où je vous écris, l'or affiche 1 372 $, 
le silver 23,11".

Qu'est-ce que cela signifie pour vous ?
1. Que malgré des plus hauts largement dépassés, 

les marchés actions vont continuer à progresser 
dans les semaines qui viennent.

Et qu'il vous falloir résister aux sirènes boursières
Cette hausse, profitez-en, oui, mais avec prudence. 
J'insiste vraiment sur ce point. 
Ne vous laissez pas griser.
trait

IMPOTS : Nul n'est tenu de payer le prix fort ! 
Découvrez les conseils de notre spécialistepour 
minimiser votre facture fiscale... en toute légalité !

trait

Pour les investisseurs long terme : ce n'est 

clairement pas le moment d'acheter. Nous sommes 
au plus haut et nous n'échapperons pas à un 
retournement des marchés actions.

Pour les investisseurs court terme : faites-vous 
plaisir et privilégiez les actions déclassées 
(tout en gardant en tête que l'euphorie ne va pas durer 
[Amateur de gains à deux voire trois chiffres ? 
Découvrez le service de notre analyste Mathieu Lebrun, 
et visezdes gains vraiment spectaculaires 
(jusqu'à 300% en quelques jours !) sans jamais lésiner 
sur les règles de money management : 
tout est expliqué ici...]
2. Les liquidités vont refluer à nouveau vers les 
émergents. Après la déculottée de ces derniers 
mois, les Bourses émergentes sont aujourd'hui vraiment 
attractives -- c'est l'occasion d'en profiter. C'est 
d'ailleurs ma stratégie dans Défis & Profits
Dans le dernier numéro, je reviens sur la crise de 1997, 
ses similitudes avec la situation actuelle et je vous 
propose des critères pour choisir les pays émergents 
qui sauront résister aux tempêtes nées sous les 
auspices de la Fed...

Je vous le disais plus haut, cela m'étonnerait beaucoup 
que les pays émergents aient apprécié la volte-face de 
Ben Bernanke. Possible que l'expérience de ces derniers 
mois engendre une méfiance accrue des pays émergents 
envers le dollar et la dette libellée en billets verts. 
Et cela serait une bonne chose.

3. Poursuite de l'impression monétaire = risques 
d'inflation accrus... et donc mouvement de refuge
vers les métaux précieux. L'or n'est pas mort, et 
ne se laissera pas enterrer. Si vous ne l'avez pas encore, 
profitez de la faiblesse actuelle des cours pour acheter.


ARTICLES LIÉS :

- See more at: http://quotidienne-agora.fr/2013/09/13/tout-va-pas-si-mal-que-cela/#sthash.VUhrs5Qn.dpuftrait

Où vont les banques ?


La Quotidienne d'Agora

Mercredi 18 septembre 2013
Quelques heures avant la fin du monde. 
Ou pas, d'ailleurs
Cécile Chevré


Les banques centrales savent-elles ce qu'elles font 
se demandait dans une précédenteQuotidienne 
Eberhardt Unger. Question toute rhétorique car, 
effectivement, elles n'ont aucune idée ni de la conduite 
à tenir, ni des conséquences à long terme de leur politique. 
Cependant, la question mérite d'être posée et reposée, 
cinq ans après la faillite de Lehman Brothers, et alors que l
es banquiers centraux sont présentés comme les remparts 
contre un effondrement systémique de l'économie mondiale.

Vous avez été nombreux à réagir à cet article et voici la 
réaction d'un lecteur auquel je vais accorder l'anonymat : 
"Oui, elles savent ce qu'elles font ! Leur objectif est de 
ruiner les Etats européens et d'installer une dictature à 
leur place avec des valets politiciens à leurs bottes ! 
Vous qui voyez loin, je suis surpris que vous n'ayez pas 
détecté leur manège !"

Cher lecteur, je ne suis pas sûre que l'on puisse vraiment 
m'accuser de complaisance envers les banques centrales, 
mais de là à les accuser de fomenter un complot anti-européen... 
il y a plusieurs pas que je me refuse absolument à franchir.

Que la Fed n'ait pas grand-chose à faire de ce qui se passe 
en Europe ou dans les pays émergents, ça je veux bien 
le croire. 
Qu'elle ne mesure pas les conséquences à long terme de sa 
politique, ça aussi. Que la politique de cette même Fed soit 
déjà en train de créer les bulles et les déséquilibres de 
demain, évidemment... mais l'établissement d'une dictature 
peu de chances --rassurez-vous -- de faire partie de ses 
projets. 
Tout d'abord parce que Bernanke et consorts sont bien trop
occupés à sauver le dollar et la dette américaine.

La dette, encore elle
Et c'est un sacré boulot. La dette publique américaine va à 

nouveau atteindre dans les jours qui viennent son plafond 
légal. 
Et, à nouveau, nous allons assister à des discussions 
musclées au Congrès sur les manières de réduire, ou pas, 
cet endettement. 
Discussions qui n'aboutiront à rien à part un blanc-seing 
pour le gouvernement américain qui va continuer à s'endetter.

La dette américaine va continuer à croître, voilà une 
certitude. 
Et c'est appréciable car en ce monde post-Lehman, 
elles sont bien rares.

La dette US augmente donc. Il lui faut donc plus 
d'acheteurs. 
Reste à savoir qui, car les acheteurs traditionnels de 
bons du Trésor ne semblent plus tellement motivés que cela par 
cette américaine qui fut un temps la panacée. Aux dernières 
nouvelles, ils en sont moins convaincus, comme le soulignait 
Simone Wapler dans sa Stratégie : "En avril et juin, les ventes 
nettes des détenteurs étrangers ont atteint un chiffre record, 
du jamais 
vu depuis... 1978, année depuis laquelle ces données sont 
disponibles. Avril avait déjà été un mois atroce. Juin est pire : 
plus de 40 milliards de dollars de délestage".

Si la tendance se poursuit, c'est mauvais très mauvais signe 
pour les Etats-Unis. Reste à attendre une confirmation car les 
ventes de juin peuvent être une sur-réaction aux premières 
annonces de la Fed quant au ralentissement du QE... 
Et si l'économie 
américaine parvient tant bien que mal à se remettre -- ne 
serait-ce que pour un temps -- sur les rails, les acheteurs 
étrangers devraient montrer moins de réticence devant la 
dette US.

Quoi qu'il en soit, les rendements américains sont jusqu'à présents 
restés sous contrôle grâce à une seule personne : Ben Bernanke. 
Et ses 85 milliards de dollars mensuels de rachats de bons du Trésor 
et d'actifs. Sans Bernanke, c'est la panique.

Nous en avons d'ailleurs eu un avant-goût depuis mai : fuite des 
liquidités des pays émergents, remontée des rendements obligataires 
et quelques séances de baisse sur les marchés actions.

Cependant, la nouvelle semble maintenant avoir été digérée par les 
marchés et si, ce soir, la Fed annonce bien une réduction de 10 à 
15 milliards de ses achats, les marchés ne devraient pas paniquer 
outre mesure. Après tout, la Fed continuera à acheter entre 75 et 
80 milliards de dollars chaque mois.

Changement de chef des opérations
Et ce d'autant plus que ce week-end est tombé une excellente 

nouvelle pour tous les accros à la liquidité, les drogués au 
quantitative easing : Larry Summers, un des principaux candidats 
à la succession de Ben Bernanke à la tête de la Fed vient de jeter 
l'éponge.

Car pour ne rien arranger, en pleine manoeuvre pour réduire son 
QE sans faire exploser les marchés, la Fed doit changer de 
commandant en chef. Le mandat de Bernanke arrive à son terme 
fin décembre prochain et, ces derniers mois, deux candidats s'étaient 
dégagés.

Larry Summers, dont la rumeur disait qu'il était le favori de Barack 
Obama, et dont les faits d'armes sont les suivants : avoir presque ruiné 
l'université d'Oxford, avoir été le ministre sous Clinton (l'administration 
qui a permis la dérégulation des activités des banques), avoir glissé 
dans une conversation que les femmes étaient naturellement moins douées 
que les hommes en mathématiques et être consultant pour nombre de 
banques d'affaires.

La rumeur toujours le disait critique quant à l'action de Bernanke et 
disposé à mettre fin aussi vite que possible au quantitative easing.

trait

INNOVATION : les "micro-usines de bureau" débarquent !
Selon notre spécialiste, cette révolution technologique a le potentiel 

de multiplier chaque euro investi par 1000 ! N'attendez pas pour 
entrer sur cette tendance : nos conseils ici...

trait

L'autre candidat est une candidate, Janet Yellen, vice-présidente de 
la Fed 
depuis 2010 et soutien inconditionnel à Bernanke et sa politique.

Le retrait de Summers laisse donc le champ libre à Yellen... ce qui 
laisse entrevoir une politique dans la continuité de celle de Bernanke.

Les marchés n'en font qu'à leur tête
Les commentateurs n'ont pas manqué d'insister sur cette nouvelle 

et son effet positif sur les marchés. Pas faux, certes, mais pas 
complètement vrai non plus.
Je crains que les marchés planent bien au-dessus de tout cela. Oui,
cet été, ils se sont laissés perturber par la perspective d'un
ralentissement du QE et celle de l'élection de Larry Summers mais,
depuis fin août, c'est l'apaisement qui a repris le dessus. L'évolution
du S&P 500 en est parfaite illustration.
Graphe du SP500
Impossible d'attribuer cette bouffée d'optimisme à la décision de 
Summers, celle-ci ne datant que du week-end dernier. La conclusion 
qui s'impose est que les marchés actions ne sont pour le moment 
pas décidés à baisser, et qu'ils se servent de la moindre nouvelle -- 
comme celle du retrait de Summers -- pour justifier leur position.

Depuis fin août d'ailleurs, les liquidités reviennent progressivement 
vers les marchés émergents et les rendements obligataires soufflent un peu.
Conférence Bourse
Qu'est-ce que cela 
signifie pour vous ?
Pour tout vous dire, tout 
ceci me donne un sentiment 
de malaise grandissant. 
Je préfère quand le comportement 
des marchés est plus "rationnel". 
Que les indices grimpent 
parce que l'économie se 
reprend, 
que les entreprises font des 
bénéfices, 
rien que de très normal. Mais 
quand ils prennent pour excuse 
le retrait d'un potentiel 
candidat à la Fed qui aurait 
tout aussi potentiellement 
mis fin au QE... hum... tout ceci ne me dit rien de bon.

La correction des marchés actions, nous sommes nombreux à l'attendre. 
Je n'irais pas jusqu'à dire qu'elle est inéluctable, mais presque. La plupart 
des indices mondiaux ont depuis plusieurs mois atteint leur sommet 
historique, il faudra bien qu'ils corrigent à un moment ou un autre.

L'annonce de la Fed semblait être le moment parfait mais ils semblent 
décidés à l'ignorer. Ce qui fait craindre un retournement d'autant plus violent. 
Un avis partagé par Mathieu Lebrun qui soulignait dans Agora Trading le 
niveau important du VIX, l'indice de la peur : "Sur les marchés, vu le niveau 
des indices US (S&P 500 autour des 1 705 points), je m'attendais à voir le 
VIX refluer nettement plus bas. 
Or, il ne baisse pas, et est même en légère hausse cet après-midi. Mouvement 
assez étrange vu l'actualité et la hausse des actifs à risque".

De quoi vous recommander à nouveau la plus grande prudence en ce qui 
concerne les actions. C'est le moment de faire un peu d'analyse technique 
et de vérifier que vos valeurs ne sont pas trop proches d'un important support 
(s'il était franchi à la baisse, le cours risque de dégringoler) ou encore de vendre 
celles qui ont évolué dans un mêmerange, sans réellement progresser depuis 
un an. 
C'est d'ailleurs ce que nous venons de faire dans Défis & Profits : un grand 
ménage en prévision d'un mouvement violent des marchés actions... dans 
quelques semaines ou quelques mois ? Mais sûrement pas demain soir. 
L'annonce de la Fed a de grandes chances de faire "pschitt !".