jeudi 10 avril 2014

J'écris à mon député pour lui dire STOP




   Partage dialoguer Pourquoi ?

Dans mes pages, je mets en évidence pleins de liens à visiter pour que chacun se fasse sa propre opinion. 

Je ne publie sur mes blog que ce qui ME semble


VRAISEMBLABLE POUR MOI.


Chacun retient ce qui LUI paraît vraisemblable pour lui. L'information ne doit pas être dirigée ni commentée mais simplement exposée. 
Amicalement

                   Partage Dialoguer pour échanger !
Je ne partage pas forcément le contenu des messages que je publie sur ce blog.
Ils m'ont simplement semblé suffisamment intéressants pour nourrir notre réflexion. 


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TROP c'est TROP


 Je vous demande de transmettre dès maintenant et à tous vos contacts 
le lien ci-dessous. 

Ils doivent eux-aussi écouter le témoignage de Sylvia Peromingo et interpeller 
leur député. Nous n’avons que quelques jours pour faire tout basculer car le 
texte sera discuté en séance à partir du 14 avril. 
Nous devons agir immédiatement. 

regardez le témoignage ci-dessous
petitions.institutpourlajustice.org/reformepenale

 Si c'était arrivé à votre femme, votre soeur, votre petite amie !!! 




 A peine élu voilà comment ils considèrent et respectent
 leurs électeurs. Après ils s'étonnent de la débâcle lors
 des élections !
Jean-Loup



 Les lois controversées, « c'est toujours mieux de les voter
 quand les gens sont en bikini ». 

Madame, Monsieur,
Chers amis de l'Institut pour la Justice,

 Cette phrase scandaleuse a été prononcée par Jean-Jacques 
 Urvoas, député et président de la Commission des lois à 
 l'Assemblée nationale. Il s'exprimait dans le journal Libération, 
 le 7 avril à propos de la réforme pénale. 
 L'objectif est très clair : profiter des vacances pour voter 
 en catimini la réforme pénale la plus dangereuse des 
quarante dernières années ! 

Mais cette réforme, l'Institut pour la Justice fait et fera tout 
pour la combattre.

Nous organisons déjà des réunions publiques dans de nombreuses
villes pour expliquer la réforme Taubira, nous sollicitons les médias,
nous avons déposé à l'Elyséeune pétition qui a réuni plus de 300 000
signatures, nous avons créé le premier groupe d'opposants à ce texte
avec des policiers, des magistrats, des victimes, des élus locaux.

Alors que cette loi devait être discutée en avril, la mobilisation de
l'Institut pour la Justice a permis de faire reculer le gouvernement
une première fois.

Mais aujourd'hui, notre mobilisation doit redoubler d'efforts 
car nous sommes particulièrement inquiets.

Christiane Taubira a été reconduite à la chancellerie et semble vouloir
passer en force. Alors que sa réforme prévoit déjà de supprimer les
peines plancher contre les récidivistes, de permettre à tous les criminels,
dans nos prisons, de sortir à la moitié de leur peine ou bien encore de
libérer plusieurs milliers de détenus ; la garde des Sceaux a fait des
annonces particulièrement graves il y a quelques jours.

Elle a déclaré qu'elle voulait « redonner de la cohérence » au texte
grâce aux amendements des députés. Derrière cette expression se
cache un projet effroyable.

Christiane Taubira veut que les peines de deux ans de prison 
ferme restent inexécutées et que la contrainte pénale 
(nouvelle fausse sanction prévue dans la loi) concerne tous les 
délits qui peuvent être punis de 10 ans de prison !!!

Sont punis de 5 à 10 ans de prison : les vols ultraviolents, 
le proxénétisme, les agressions armées en bande organisée 
contre des policiers ou les agressions sexuelles aggravées...

Voilà l'objectif. Eviter la prison à des criminels aux profils ultra dangereux !

La ministre de la justice (ou de ce qu'il en reste) incitait même, il y
a quelques jours et sourire ironique aux lèvres, à une association de
magistrats de prendre « d'assaut les députés et les sénateurs » pour
aggraver encore cette loi criminelle.

Mais nous refusons de nous laisser faire.

Nous avons créé une page pour vous permettre
d'interpeller directement votre député
et exiger qu'il ne vote pas cette loi qui sera discutée très bientôt à
l'Assemblée.

Notre seule chance aujourd'hui est de faire pression sur nos députés 
de toute urgence. Nous sommes leurs électeurs, ils doivent nous
entendre.

Chaque voix compte, c'est pourquoi je vous demande de participer à
notre grande action.

J'écris à mon député

Je compte sur vous.

Laurence Havel,
Secrétaire nationale

Ps : si vous le pouvez, je vous demande également de faire un don à
l'association. L'IPJ refuse toute subvention publique et a besoin de votre aide.
Nous ne pouvons pas échouer.
S'il vous plaît, faites un don l'Institut pour la Justice

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