La vie est comme un arc en ciel. Il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.
Jules Renard
PARTAGE JEAN-LOUP
Si vous ne pouvez pas être positif ici, allez être négatif ailleurs.
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Dans mes pages, je mets en évidence pleins de liens à visiter pour que chacun fasse sa propre opinion. Jules RenardPARTAGE JEAN-LOUP
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Je ne publie sur mes blog que ce qui ME semble VRAISEMBLABLE.
Chacun retient ce qui LUI paraît vraisemblable pour lui. L'information ne doit pas être dirigée ni commentée mais simplement exposée.
Amicalement
Je n'ai plus de Télé. je recherche mes informations et je les confronte à d'autres sources, car :
" Qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son ".
Je ne partage pas forcément le contenu des messages que je publie sur ce blog.
Ils m'ont simplement semblé suffisamment intéressants pour nourrir notre réflexion.
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Pourrez-vous rester indifférents après avoir visionné
cette interview de Bruno Richard réalisée après 17 jours
de grève de la faim ?
TV Libertés a mis en ligne une vidéo. il y a 1 semaine
TV Libertés a mis en ligne une vidéo. il y a 5 jours
L’affaire Robin Richard ou la honte d’un pays.
Un homme se meurt pour sauver son fils dans un silence assourdissant.
Soutenons-le. Prouvons que nous sommes humains.
Ce week-end, Bruno Richard passera sa troisième semaine de la grève de la faim devant le Ministère de la Santé, sans la moindre attention de Mme Touraine qui passe négligemment devant lui chaque jour.
Ce papa souhaite juste une simple audience pour que son fils Robin, cet enfant plein de vie quand il fût touché par la foudre le 29 mars 2007 durant une sortie scolaire, reçoive des soins adaptés à son état de santé réel. Il est en effet considéré comme étant dans un état végétatif par les autorités de santé, alors même que la réalité de sa conscience, de son éveil et des soins de rééducation qu’il requiert sont tout à fait vérifiables et attestés par des experts en neurologie.
Trois semaines d’indifférence. Trois semaines durant lesquelles il s’est laissé dépérir par une grève de la faim aggravée par l’arrêt de son traitement cardiaque. Trois semaines qu’il expose sa pauvre peau de père déterminé devant le bâtiment officiel symbolisant la santé en France. Trois semaines qui le font entrer dans une zone de danger pour lui-même. Trois semaines sans un regard du gouvernement.
Il est urgent d’agir.
Mme Marisol Touraine, dont l’indifférence hautaine ne prouve que l’attente agacée qu’un problème médical grave arrive à ce papa pour la débarrasser enfin de ce va-nu-pieds du peuple qui ose venir se laisser mourir devant ses fenêtres. Peut-elle encore être digne de sa fonction ? Peut-elle poursuivre de prétendre à ce poste ? Elle qui passe quasiment chaque jour devant les banderoles et cet homme affamé, pour aller à pied chez son coiffeur à quelques pas, en détournant la tête pour ne pas voir le miséreux. Serions-nous revenus en Monarchie avec une noblesse de ministère ?
Le gouvernement se dit « socialiste ». Que leur reste-il de ce socialisme quand on détourne ainsi les yeux d’une détresse légitime ? Où est la générosité envers les démunis dont se défend le Président de la République ? Tout cela n’existe pas. Le calvaire de Bruno Richard et de son fils Robin dépasse la revendication pour devenir un symbole : il n’y a aucune empathie, aucune préoccupation, d’aucun de ces ministres, de Manuel Valls leur chef et de Hollande le Président de la République Française, envers les problèmes des Français. Il n’y a aucun humanisme ni pitié chez ces gens-là. Pas plus que chez la majorité des représentants élus du Parlement qui pour l’heure n’a pas daigné jeter un œil à cet homme.
Saint-Exupéry a écrit : « Je combattrai pour l’Homme. Contre ses ennemis. Mais aussi contre moi-même. »
Mesdames, Messieurs les responsables politiques, en refusant d’accorder votre attention à Robin et son père vous êtes devenus des ennemis de l’Homme. Vous n’êtes plus humains.
Mesdames, Messieurs les responsables politiques, en refusant d’accorder votre attention à Robin et son père vous êtes devenus des ennemis de l’Homme. Vous n’êtes plus humains.
Le sommes-nous nous-mêmes ?
Un père, affaibli, amaigri, épuisé, se laisse mourir pour attirer l’attention. Dans l’indifférence générale. Quel pays, quelle Nation serions-nous si nous ne faisons rien, nous qui pourrions-être dans la même situation que lui demain. Aurions-nous encore le droit de lever la tête ?
Il faut se battre à ses côtés, unis, déterminés, pour défendre notre humanisme, qui que nous soyons, et cela même si les responsables politiques, au courant forcément de la situation, ne montrent que mépris et indifférence face à cette douleur.
Il faut se battre à ses côtés, unis, déterminés, pour défendre notre humanisme, qui que nous soyons, et cela même si les responsables politiques, au courant forcément de la situation, ne montrent que mépris et indifférence face à cette douleur.
Tous : redevenons humains.
Toi, qui ne peut te rendre à Paris pour le soutenir, partage ce courrier, copie le sur les sites officiels et les réseaux sociaux de la Présidence, du premier Ministre, du Ministère de la Santé et des membres du gouvernement. Fais le également dans les commentaires des sites Internet des médias. Envoie-le à tes élus locaux. Harcèle-les s’il le faut.
Toi qui es parisien, prend aussi quelques minutes de ton temps pour aller le soutenir sur place.
Toi qui es journaliste, relaie cette situation scandaleuse qui vaut bien plus que les « buzz people » dont la presse se délecte.
Toi qui es artiste, sers-toi de ta notoriété, même minime, pour en parler et venir t’afficher avec lui. Viens chanter, déclamer, peindre, écrire, sculpter, exercer ton art auprès de lui.
Faisons en sorte d’éclairer ce père qui se meurt, dans l’ombre, de faim et de désespoir sous les yeux de sa femme effondrée. Que son fils retrouve le sourire à côté de son papa et les soins médicaux qu’il nécessite.
Prouvons que nous sommes simplement humains.
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