vendredi 3 mai 2013

La fin de Monsanto ? You Can

  a partagé une photo de Les Verts de Rage.

Il y a sans doute des administrations qui vont

avoir du 
souci à se faire


Pesticides : une association !porte plainte contre l'Etat 

Générations Futures accuse la Direction générale de l’alimentation de n’avoir pas tenu compte d’avis négatifs concernant sept pesticides.

Générations Futures est une organisation 
non gouvernementale (ONG), dont l’action contre la dangerosité des pesticides est reconnue depuis des années. Elle s’apprête à déposer une plainte, dans le courant de la semaine, contre la Direction générale de l’alimentation (DGAL), qui dépend du ministère de l’Agriculture, et divers fabricants de pesticides.

Motif : mise en danger de la vie d’autrui. Elle envisage également de déposer un recours devant les juridictions administratives pour “carence fautive de l’Etat”.

Le ministère n'a pas tenu compte des avis défavorables de l'Anses

L’association reproche aux services du ministère de l’Agriculture de ne pas avoir tenu compte des avis défavorables émis par l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) auxquels elle a eu accès, légalement. Générations Futures a également eu connaissance de différents courriers que Marc Mortureux, le directeur de l’Anses, a adressés à la DGAL dans lesquels il s’étonne que ses avis ne soient pas suivis d’effet.

Or, sur les sept produits phytosanitaires incriminés, certains sont considérés par l’Anses comme présentant des “risques aigus inacceptables” pour le consommateur ou l’applicateur, c’est-à-dire le jardinier ou l’agriculteur. D’autres pesticides sont considérés comme pouvant contaminer les eaux souterraines ou être toxiques pour les oiseaux. 

Et pourtant, ils sont toujours sur le marché.

Une liste de 40 produits phytosanitaires dangereux

Cette plainte pénale vise les sept pesticides que Générations Futures estime les plus dangereux pour les consommateurs. Mais l’ONG a listé une quarantaine de produits phytosanitaires pour lesquels la DGAL n’a pas donné suite aux avis défavorables de l’Anses. Elle va demander au ministère de l’Agriculture le retrait de leur autorisation de mise sur le marché.


Source: http://www.santemagazine.fr/

Photo : Pesticides : une association porte plainte contre l'Etat !

Générations Futures accuse la Direction générale de l’alimentation de n’avoir pas tenu compte d’avis négatifs concernant sept pesticides.

Générations Futures est une organisation non gouvernementale (ONG), dont l’action contre la dangerosité des pesticides est reconnue depuis des années. Elle s’apprête à déposer une plainte, dans le courant de la semaine, contre la Direction générale de l’alimentation (DGAL), qui dépend du ministère de l’Agriculture, et divers fabricants de pesticides.

Motif : mise en danger de la vie d’autrui. Elle envisage également de déposer un recours devant les juridictions administratives pour “carence fautive de l’Etat”.

Le ministère n'a pas tenu compte des avis défavorables de l'Anses

L’association reproche aux services du ministère de l’Agriculture de ne pas avoir tenu compte des avis défavorables émis par l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) auxquels elle a eu accès, légalement. Générations Futures a également eu connaissance de différents courriers que Marc Mortureux, le directeur de l’Anses, a adressés à la DGAL dans lesquels il s’étonne que ses avis ne soient pas suivis d’effet.

Or, sur les sept produits phytosanitaires incriminés, certains sont considérés par l’Anses comme présentant des “risques aigus inacceptables” pour le consommateur ou l’applicateur, c’est-à-dire le jardinier ou l’agriculteur. D’autres pesticides sont considérés comme pouvant contaminer les eaux souterraines ou être toxiques pour les oiseaux. Et pourtant, ils sont toujours sur le marché.

Une liste de 40 produits phytosanitaires dangereux

Cette plainte pénale vise les sept pesticides que Générations Futures estime les plus dangereux pour les consommateurs. Mais l’ONG a listé une quarantaine de produits phytosanitaires pour lesquels la DGAL n’a pas donné suite aux avis défavorables de l’Anses. Elle va demander au ministère de l’Agriculture le retrait de leur autorisation de mise sur le marché.

Source: http://www.santemagazine.fr




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  • Bruno Rossignolle @Florence Muller J' ai un bac plus trois en agriculture et je peux te dire que la majorité des agriculteurs sont bien informés des dangers que représentent les intrants en agriculture. Mais les mauvaises pratiques ont la vie dure. La plupart ne viennent pas étudiés mais simplement rechercher un diplôme pour pouvoir s' installer à la suite des parents. Malgré les cours d' économie et gestion, malgré qu' il y ai de l' information théorique et pratique, des bibliothèques correctement fournies et éclectiques, ils ne jurent tous ou presque que par le rendement. ce n' est pas tant la marge brute qui les intéresse ( et c' est la seule parlante ) que la quantité produite ( par vache, Ha, ect )..Je pourrais dire que c' est une compétition au plus con ( il fut un temps où c' était la taille du tracteur souvent pas adapté à la surface et trop coûteux ) mais l' orgueil se place là où cela peut.




  • Gregory Lombard Enfin !


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