vendredi 17 janvier 2014

Le viol comme arme de guerre



   Partage dialoguer Pourquoi ?

Dans mes pages, je mets en évidence pleins de liens à visiter pour que chacun se fasse sa propre opinion. 

Je ne publie sur mes blog que ce qui ME semble


VRAISEMBLABLE POUR MOI.


Chacun retient ce qui LUI paraît vraisemblable pour lui. L'information ne doit pas être dirigée ni commentée mais simplement exposée. 
Amicalement

                   Partage Dialoguer pour échanger !
Je ne partage pas forcément le contenu des messages que je publie sur ce blog.
Ils m'ont simplement semblé suffisamment intéressants pour nourrir notre réflexion. 

Pour visiter tous mes blogs :  cliquez ci-dessous à droite



                                                                  sur : Afficher mon profil complet


Change.org


Jean-Loup,
Nous avons franchi une étape cruciale pour les droits 
des femmes congolaises et la lutte contre le viol à la
veille de Noël. Je suis heureux de pouvoir vous apporter
ces nouvelles aujourd'hui.
Forts de votre large mobilisation, avec une délégation des
52 marraines représentées par Françoise Héritier et
Mireille Delmas-Marty du collège de France, la juge
Marie-Odile Bertella-Geffroy ainsi que la matriarche des
féministes Andrée Michel, nous avons obtenu un entretien 
avec le Président de la République, François Hollande. 
Nous lui avons remis notre pétition que vous avez 
signée et qui lui demande de s'engager dans la lutte 
contre le viol comme arme de guerre en République 
Démocratique du Congo.
Nous avons été écoutés et entendus.
Nous avons demandé au président français que la
constitution d'un Tribunal pour la République Démocratique
du Congo qui pourrait juger ces crimes soit inscrite à 
l'ordre du jour du Conseil de Sécurité de l'ONU dont 
la France assure actuellement la présidence. Nous
avons expliqué que 500.000 femmes francophones étaient
violées au Congo sans que personnes ne s'en émeuve et
qu'il fallait agir.
Le Président nous a dit la détermination de la France 
à lutter sans relâche contre ce fléau. Mais nous avons
aussi compris que cet entretien, bien que positif, ne fait
qu'ouvrir la voie à d'autres rencontres qui seront elles aussi
indispensables pour faire avancer notre combat.
En effet, les conseillers du président de la République nous
ont rappelé qu'il fallait 9 voix sur les 15 du Conseil de 
Sécurité pour faire adopter cette proposition. Selon eux,
il nous faut obtenir le soutien d'un maximum de pays avant
que la France ne propose un projet. C'est donc la prochaine
étape de notre mobilisation. Et pour cela, nous avons encore
besoin de votre soutien.
Continuons à faire monter le compteur des signatures 
pour que notre appel résonne par-delà les frontières 
françaises et interpelle les dirigeants étrangers, afin
qu'ils nous reçoivent et nous écoutent eux aussi !
Atteignons 50 000 signatures.
Cliquez ici pour poster la pétition sur Facebook
Vous pouvez également envoyer le lien vers la pétition 
à tous vos contacts :www.change.org/TPIpourlaDRC
Notre rencontre avec François Hollande est une immense
avancée pour notre campagne. Nous allons travailler dur pour
rencontrer d'autres responsables politiques pour qu'eux
aussi entendent notre appel : Nkosazana Dlamini-Zuma, la
présidente de la Commission de l'Union africaine et
Herman Van Rompuy, le président du Conseil européen, mais
 aussi Abdou Diouf, secrétaire général de l'Organisation
Internationale de la Francophonie et le président américain
Barack OBAMA. Notre objectif est que tous parlent d'une
même voie sur la création de ce Tribunal Pénal International
pour la RDC.
Notre force vient de votre soutien sans failles. Merci encore.
Hamuli RETY
PS : Cliquez ici pour voir une vidéo sur notre rendez-vous à l'Élysée


Et si c'était en France que cela se passait ? Chez les autres nous y pensons moins. Plaise à Dieu que jamais une telle horreur nous rattrappe par le fait de notre indifférence.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire